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Le Progrès du 22/08/2012
Les dépôts-ventes, un bon plan pour habiller ses enfants
Lyon. Pour renouveler la garde-robe de vos enfants sans vous ruiner, pourquoi ne pas opter pour des vêtements vendus dans des dépôts-ventes ? Ils proposent, à moindre prix, des habits de marques d’occasion en bon état.
C’est après une mauvaise surprise que la Lyonnaise a tout abandonné pour ouvrir un dépôt-vente. « Quand je suis tombée enceinte, je me suis rendue dans de nombreux dépôts-ventes. Mais aucun ne m’a satisfait. Il y avait des habits en très mauvais état, pas de choix, rien n’était rangé. Je me suis dit qu’il fallait améliorer ça. »
Bodys, poussettes, grenouillères, robots mixeurs, ici, les marchandises neuves se mélangent sans difficulté aux produits d’occasion. « Parfois, les gens ne se rendent même pas compte que certains habits sont d’occasion », explique Pascale.
Il faut dire qu’avant leur mise en vente, les produits sont minutieusement sélectionnés. « Je ne prends que des vêtements de marque qui n’ont pas plus de deux ans. Ils doivent être propres et en très bon état. Les gens veulent que ça ressemble le plus possible à du neuf. Le moindre défaut, la moindre tache, et le produit devient très dur à vendre. »
Une clientèle éclectique
Et ça marche. Des familles modestes aux personnes « très snobs », en trois ans, Pascale a réussi à fidéliser une clientèle très large. « J’ai aussi beaucoup de personnes âgées. Elles sont moins ancrées dans la société de consommation, alors elles ont moins de complexes à acheter des choses d’occasion. »
Forte de son succès, elle n’arrive parfois même pas à satisfaire toute la demande. « Je croule sous les appels. Je ne compte pas moins de 469 déposants, et mon chiffre d’affaires a augmenté de 35 % par rapport à l’année dernière. Je n’accepte que trois dépôts par jour et sur rendez-vous, sinon ça peut vite devenir la galère. »
Une alternative en temps de crise
« Les gens donnent moins. Ils récupèrent plus, ils font attention à leur argent. Leur mentalité change, indique Pascale. Ils achètent la plupart du temps du neuf pour leur premier enfant, mais dès qu’ils voient que c’est du gaspillage de dépenser autant pour des vêtements qui sont si peu portés, ils n’hésitent plus à acheter d’occasion pour les enfants suivants. »
Amandine Bourgoin
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À partir de 17'25 :